Mon Dépucelage Avec Ma Prof DHistoire-Géo
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Quatre années étaient passées et je voyais toujours régulièrement ma Tante Annie pendant les vacances, même si elle navait plus besoin de me masturber comme par le passé, nous étions tout de même très proches sans jamais avoir eu de relations sexuelles mais nous aimions nous prendre dans les bras et nous faire quelques baisers sur la bouche mais sans jamais mettre notre langue. Cétait une relation affectueuse forte et tactile.
Lorsque je suis rentré en seconde, résident à la campagne, il mavait fallu aller au lycée dans la ville où habitait Tatie, ce fut tout naturellement que lamie denfance de ma mère : Annie se proposa de mhéberger la semaine, tout en soccupant de mes études, car elle était prof dans le lycée où jétais inscris. Très rapidement, je suis tombé amoureux de ma professeure dhistoire-géo. Cette belle femme que je voyais en classe était également une très bonne amie de Tatie, elle venait au moins une fois par semaine chez Annie. Je la trouvais sublime, mais une fois encore, cette femme si désirable avait une vingtaine dannées de plus que moi. En classe elle nous laissait voir sa personnalité, elle était très cultivée, passionnée par son travail, exigeante mais savait plaisanter tout en nous faisant travailler, elle restait à notre écoute, et que dire de son physique ? elle était tout simplement magnifique.
Je trouvais cette jeune femme splendide, plantureuse, élégante ayant de jolies formes, sa poitrine dun 90 D en faisait rêver plus dun, autant chez les élèves que chez les professeurs. En tout cas, ayant beaucoup plus de facilités de l'approcher que les autres, étant donné que cétait la meilleure amie de ma tante, elle venait beaucoup vers moi dès la fin du cours, n'arrêtant jamais de m'encourager, avec de petits gestes de sympathie. Mon amour pour elle ne faisait quaugmenter. Annie et Coralie, étaient toutes les deux célibataires, elles sortaient souvent les mercredis soir, Coralie passait chez tatie, avant de retrouver leurs amants pendant leurs sorties nocturnes, Coralie avait toujours un mot gentil pour moi et venait me voir lorsque je faisais mes devoirs, elle posait sa main sur mon épaule et lisait ce jécrivais puis repartait en me faisant un petit bisou sur la joue en me souhaitant bonne soirée.
Dès la rentrée de janvier, je ne vis plus Coralie au lycée, je men étais inquiété auprès de Tatie qui mavait expliqué quelle était mutée suite à une relation quelle avait entretenue avec le jeune professeur de gymnastique. Je lavais très mal vécu, jétais triste de ne plus la revoir car le lycée où elle enseignait, se trouvait à plus de 50 km. Même chez Tatie, elle ne venait pratiquement plus, dune à deux fois par semaine, elle ne passait que tous les mois et encore. Je me décidai donc den parler à Annie et je lui avouai que jétais amoureux de Coralie et que sans elle, je me sentais très mal et javais des difficultés de ladmettre. Ma tante fut très compatissante avec moi mais elle mexpliqua que mon amour pour cette femme ne pourrait jamais commencer, que ce nétait quun fantasme et que jamais Coralie ne serait amoureuse de moi. Elle avait une vie sexuelle très bien remplie et quelle ne la voyait pas vivre avec moi, il fallait que je trouve rapidement une fille de mon âge afin de faire lamour pour oublier Coralie :
Il y en a beaucoup dans la cour mon chéri qui nattendent quun signe de toi. Tu sais, jai des oreilles et je les entends parler de toi. Ne tinquiète pas, tu vas trouver.
Deux mois étaient passés lorsque Coralie revint à la maison rendre une petite visite à ma tante, elles étaient toutes les deux installées dans le salon lorsque je suis rentré du lycée. Dès que je lai aperçu, mon visage sétait illuminé, elles lavaient tout de suite remarqué, je métais précipité vers Coralie. Me voyant ainsi, elle sétait levée et me fit face, je lai prise dans mes bras, lui enserrant le dos, en posant ma tête de profil sur sa poitrine, je la serrai fort quelques secondes avant de dire :
Vous mavez tellement manqué Madame Coralie.
À moi aussi tu mas manqué tu sais. Ici, tu peux mappeler Coralie, je ne suis plus ton professeur mais ton amie. Comment ça va les cours, tu ten sors ?
Après une petite conversation banale sans intérêt, jétais retourné dans ma chambre, afin de faire mes devoirs, les deux femmes étaient restées au salon discuter de leurs histoires de curs et de cul, elles en avaient à se dire depuis le temps quelles ne sétaient pas vues. Ce que je ne savais pas, cétait que leur sujet de conversation fut en grande partie à mon sujet.
Je fus agréablement surpris lorsque Tatie était venue me dire que la table était prête et que Coralie restait avec nous toute la soirée. Étant en bout de table, javais Coralie à ma droite et Tatie en face de moi. Très souvent, elle me posait la main sur la mienne et me posait des questions sur mon année scolaire. Je ressentais au plus profond de moi, des sensations au contact de sa peau, mon attirance pour elle devenait de plus en plus insupportable. Lorsque Tatie dû aller à la cuisine, Coralie posa sa main sur ma cuisse nue, juste en dessous de mon short, je ressentis comme une décharge électrice, elle se pencha vers moi, toujours sa main sur moi en disant :
Il parait que tu es amoureux ?
Madame ! Je ne peux pas vous...
Appelle-moi Coralie, tu veux bien ?
Annie était revenue sassoir et nous avions repris la conversation initiale, la main de ma voisine avait quitté ma cuisse et jen étais désolé mais dans mon short, les choses nétaient pas si simples, ma verge avait pris du volume et se sentait à létroit. Je navais dyeux que pour elle, ses seins de profils étaient là qui semblaient vouloir sortir de son corsage blanc largement décolleté. Les regards quelle jetait sur moi menflammait, chaque sourire quelle me faisait me brûlait les entrailles, je buvais ses paroles lorsquelle sadressait à moi.
Une fois le repas terminé et la table débarrassé, jeus très peur que Coralie reparte.
Coralie était au milieu du divan et me fit signe, en montrant le coussin à côté delle, de massoir. Annie reprit la place sur le fauteuil et annonça quelle avait rendez-vous ce soir avec son amant mais quelle restait encore un peu avec nous en attendant lheure J. Toujours sans tabou et sans gêne, elle parla de sa relation sexuelle avec Richard un nouveau prétendant, dans les moindres détails et nous écoutions avec attention. Coralie avait posé une nouvelle fois sa main sur ma cuisse, mais celle-ci ne restait pas immobile, délicatement, elle glissait sa paume, de mon genou, au haut de ma cuisse, je croyais que jallais exploser tellement cela me faisait durcir ma queue qui était au maximum de son érection. Pendant les vingt minutes du récit érotique de Tatie, Coralie me caressait, elle ne sen rendait même pas compte mais moi je bouillonnais dans mon short.
Annie sétait enfin arrêtée de discuter, nous fit la bise en nous souhaitant bonne nuit puis sortit de lappartement. Jétais pris entre deux sentiments, la joie dêtre enfin avec la femme que jadorais et la peur de rester seul avec elle. Coralie voulut me mettre laise tout de suite, elle se tourna légèrement de trois-quarts me fixant droit dans les yeux. Elle me dit quAnnie lui avait dit toute la vérité sur ma première masturbation, la grosseur de mon sexe, et les nombreuses fois quelle mavait aidé à me faire éjaculer. En ce qui concernait notre amour, elle mavait bien annoncé que cétait impossible :
Elle a raison Annie mon chéri, ce nest quun fantasme sexuel, tu dois passer à autre chose.
Mais je vous aime Coralie, vous me mettez dans un de ces états, chaque fois que je pense à vous.
As-tu déjà fait lamour avec une fille ?
Non !!! Coralie.
Annie ta aidé à ta première branlette, serais-tu daccord que je sois ta première fois ?
Comment serait-ce possible enfin ?
Grégoire ! Veux-tu que je te dépucelle ?
Elle nattendit pas ma réponse, elle se pencha sur moi et me déposa un baiser sur mes lèvres, elle passa sa langue sur ma bouche qui restait fermée mais força le passage. Elle mavait tout contre elle, nous nous embrassions pendant plus dune minute, puis me retira mon teeshirt et se mise à genoux au sol pour me retirer mon short. Mon pénis, tel un élastique, se banda devant elle :
Mon Dieu ! Quelle bite, tu as !!!
Je nen pouvais plus, dès quelle menserra ma queue dans sa main, pour lavaler dans sa bouche, je nai pu me contrôler, les jets de spermes séjectèrent de ma verge qui était devenue incontrôlable. Elle avait tout reçu sur sa gorge et entre les seins par le décolleté de son corsage. Javais honte, je ne savais plus où me mettre, javais les larmes aux yeux et jallais meffondrer :
Cest bien me dit-elle, il fonctionne à la perfection. Dit-elle avec humour.
Cétait les mots et le ton quil fallait que jentende, cela ne lavait pas du tout étonné et me rassura. Elle souriait en se levant, elle me prit par la main et memmena à la salle de bain :
Ce nest pas de la précocité, ça fait trois heures que tu es sous pression, cest de ma faute, jaurais dû men douter. Viens, préparons-nous et je viens me coucher avec toi. Si tu es daccord ?
Quelle question Coralie, ça fait un an que jen rêve toutes les nuits, je me branle plusieurs fois par jour en pensant te faire lamour.
Ma nuit fut magique, si je nétais pas parvenu à la faire jouir lors de mon dépucelage, les trois fois suivantes, Coralie en grande experte mavait expliqué comment il fallait que je my prenne. Je ne saurais dire combien de fois elle avait crié, en inondant les draps cette nuit-là, mais daprès les propos quelle avait tenu à Annie, lorsque celle-ci était rentrée à 4 heures du matin, elle était radieuse et comblée. « Cest un futur étalon, il est fait pour lamour. » avait-elle dit.
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